Sous-titrage et voix off
Aujourd’hui plus que jamais, la communication audiovisuelle doit faire partie de toute stratégie de communication digne de ce nom : plus de 70 % des internautes déclarent être plus susceptibles d’acheter un produit ou un service après avoir visionné une vidéo sur le sujet !
Mais lorsque l’on souhaite toucher un public large, il est important de réfléchir à adapter son contenu aux différentes cibles : les malentendants dans un premier temps, puisque plus de 4 millions de personnes en France souffrent d’un déficit auditif, c’est près de 7 % de la population ! Viennent ensuite tous les spectateurs dont le français (ou l’anglais) n’est pas la langue maternelle, et enfin et pas des moindres tous les utilisateurs de réseaux sociaux qui regardent les vidéos sans le son (c’est près de 85 % !). Plus votre cible est large, plus votre stratégie de communication sera efficace.
Quelles solutions pour le sous-titrage ?
Plusieurs techniques de traduction audiovisuelle existent, notamment le sous-titrage, la voix off ou le doublage. Cette dernière, la plus coûteuse puisqu’elle nécessite des frais d’enregistrement (location d’un studio, comédiens…), est généralement réservée au cinéma ou à la télévision. En communication d’entreprise, on privilégiera donc les sous-titres ou la voix off.
Comment générer des sous-titres sur une vidéo ?
Le sous-titrage consiste à afficher la traduction sous forme de texte en bas de l’écran, en même temps que le dialogue. C’est une technique adaptée aux publics malentendants et étrangers plus à l’aise à l’écrit qu’à l’oral, qui permet de regarder et de comprendre une vidéo même sans le son, c’est donc celle qui touchera le plus grand nombre. C’est néanmoins un processus qui peut être long puisqu’il suppose trois étapes :
- La retranscription / le repérage : retranscrire à l’écrit la vidéo et tous les points d’entrée et de sortie des dialogues (c’est ce que l’on appelle les time-codes).
- La traduction : les textes retranscrits sont envoyés en traduction en fonction des langues souhaitées.
- La synchronisation / l’incrustation : adapter et synchroniser la traduction aux dialogues. Plusieurs critères très stricts doivent être respectés en termes de nombre de caractères par ligne et par seconde pour que les sous-titres soient lisibles.
Comment faire de la voix off ?
La voix off ou voice-over consiste à superposer sur la ou les voix d’origine le texte traduit. La voix originale est ainsi laissée en fond sonore, généralement à 10% : cela évite d’avoir à synchroniser le mouvement des lèvres et permet de faire appel indifféremment à un homme ou à une femme quel que soit l’orateur. Cette voix off pourra se faire en condition de « direct » par un interprète de conférence puis éditée en post-production, ou bien travaillée en amont à l’écrit puis enregistrée, en fonction du type de vidéo, de vos besoins et de votre budget.
Chez Alltradis, nous sommes à votre disposition pour discuter ensemble de vos besoins et trouver la solution la plus adaptée.